800 00 50 50
Appel gratuit du Service national de l'éducation et de l'information pour la santé (SNEIPS)
800 00 30 30
Ce numéro national d’aide à distance du Sénégal sur le VIH et les IST. Une ligne accessible tous les jours de 8 heures à 20 heures.
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Dénommée "Gindima" (Eclaire moi), cette ligne verte gratuite a été lancée officiellement le 12 août 2016, à Matam (nord), par le ministre de la Jeunesse, de l'Emploi et de la Construction citoyenne, Mame Mbaye Niang, dans le cadre des vacances citoyennes.
« Ce qu’on oublie souvent en Afrique c’est le financement domestique, alors que 80 à 90 % de l’argent de la riposte provient de partenaires étrangers. Cela ne peut pas s’inscrire dans la durée, car les partenaires vont progressivement se retirer et les malades resteront toujours là »
En Afrique Subsaharienne, près de trois millions d’enfants vivent avec le VIH, c’est à dire un enfant infecté toutes les deux minutes. Et, faute de moyens, seuls 15 mille enfants sont diagnostiqués du cancer.
L’élaboration du Plan Stratégique National pour une riposte multisectorielle intégrée contre le sida, la tuberculose, les hépatites virales et les IST pour la période 2023-2030 exprime la volonté du Gouvernement d’apporter à ces maladies une réponse multisectorielle, intégrée, plus robuste afin d’optimiser l’impact de ses investissements.
… le Plan Stratégique National pour une riposte multisectorielle intégrée contre le Sida, la Tuberculose, les Hépatites virales et les IST pour la période 2023-2030 traduit l’engagement du Gouvernement du Sénégal à maintenir les acquis et accélérer la riposte nationale pour éliminer ces pandémies d’ici 2030.
« En effet, l’information et l’engagement des pères dans le processus peut éviter aux femmes de porter toutes seules toute la charge émotionnelle et le poids socioculturel liés à la prise en charge de l’enfant né au sein d’un couple vulnérabilisé par le VIH».
« Nous avons fait beaucoup de plaidoyer pour l’accès aux ARV, aux soins et aux traitements pour les personnes vivant avec le VIH. Nous continuons ce plaidoyer pour réduire les inégalités d’accès à ces traitements chez les enfants… »
« En matière d’élimination de la transmission Mère-Enfant du VIH, le maitre-mot est la sensibilisation. Encore et toujours. Une femme mise au courant est prête à tout pour faire venir au monde un enfant en bonne santé »
« … La prise en charge des enfants vivant avec le VIH demeure un défi majeur. Au Sénégal, plus de 7 enfants sur 10 porteurs du VIH ne sont pas encore dépistés. Plus on tarde à les retrouver et à les mettre sous traitement anti-rétroviral, plus le risque de les perdre augmente…»
« … les personnes vivant avec le VIH, qui respectent leurs traitements antirétroviraux, peuvent vivre positivement et rester en très bonne sans risque de transmettre sexuellement le virus à d’autres.»
« … En tant que mère de famille , notre besoin , notre priorité , c’est aujourd’hui vraiment de mobiliser des ressources, d’aider le CNLS à mobiliser des ressources pour vraiment prendre en charge tous ces enfants qui sont infectés par le VIH et qui sont dans le besoin … »
« Depuis plus de 20 ans, les pays du monde entier s’appuient sur les lignes directrices de l’OMS fondées sur des données probantes pour prévenir, dépister et traiter l’infection par le VIH »
«Nous devons pousser pour l’égalité des femmes et des filles pour réduire leurs risques de VIH.
En Afrique subsaharienne, les adolescentes et les jeunes femmes ont trois fois plus de risques d’être infectées par le VIH que les garçons et les hommes du même âge. Ce constat incombe aux inégalités.
Permettre aux filles de finir leur scolarité secondaire peut réduire de moitié leur vulnérabilité à une infection au VIH »