800 00 50 50
Appel gratuit du Service national de l'éducation et de l'information pour la santé (SNEIPS)
800 00 30 30
Ce numéro national d’aide à distance du Sénégal sur le VIH et les IST. Une ligne accessible tous les jours de 8 heures à 20 heures.
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Dénommée "Gindima" (Eclaire moi), cette ligne verte gratuite a été lancée officiellement le 12 août 2016, à Matam (nord), par le ministre de la Jeunesse, de l'Emploi et de la Construction citoyenne, Mame Mbaye Niang, dans le cadre des vacances citoyennes.
Les chefs d’Etats africains « vont envoyer un message clair demandant la reconduction du PEPFAR », a déclaré à la presse Jean Kaseya, Directeur du CDC-Afrique. « Nous devons aller vite. Les statistiques montrent que chaque jour des jeunes gens sont touchés », a-t-il ajouté, « perdre notre jeunesse signifie tuer notre économie et stopper notre développement ».
Au Sénégal, le Pepfar opère dans 07 des 14 régions du pays et 25 structures sanitaires. Parmi les grandes réussites de ce programme ,on retiendra une grande amélioration des offres de services et dans l’utilisation des données pour un coût en 2023 de 04 milliards F CFA environ.
Le PEPFAR fournit chaque année 1,6 milliard de dollars à la lutte contre le sida en Afrique, selon Jean Kaseya.
Les experts estiment que les énormes avancées enregistrées sur le continent, avec de nombreuses vies sauvées, grâce aux PEPFAR seront remises en cause si le programme s’arrête.
La survenue de l’épidémie à coronavirus a été l’événement qui a secoué le monde en cette année 2020. Une pandémie qui vient s’ajouter à une autre que depuis plus de trente ans l’humanité tente d’éliminer : le Sida.
Le Centre de Prise en charge des Addictions de Dakar (CEPIAD) veut relancer ses activités fortement impactées par la pandémie de Covid 19. Ce centre de référence qui offre une prise en charge ambulatoire globale aux personnes dépendantes de substances psychoactives doit faire face en effet à certains impairs :un ralentissement qui touche tous les centres de prise en charge décentralisée, un taux de perdus de vue qui dépasse 50% et un faible enrôlement en plus d’un certain nombre de décès.
Différents acteurs impliqués doivent ainsi, sous l’égide du CNLS et du CEPIAD réfléchir à une meilleure mise en œuvre des activités de prise en charge des Consommateurs de Drogue Injectable. Il s’agit de dresser l’état des lieux des sites de Prise en charge, de faire le point sur les activités réalisées mais surtout d’identifier les obstacles et d’élaborer des stratégies pour améliorer la performance du programme.
La cérémonie d’ouverture a été l’occasion de revenir sur les grands enjeux que revêt cet atelier parti pour durer deux jours, en relation avec d’autres maladies comme le VIH, les Hépatites ou la tuberculose.