
Les médicaments antirétroviraux permettent de limiter la charge virale dans l’organisme des personnes infectées et de les maintenir en bonne santé, ainsi que d’empêcher la transmission du VIH à leurs partenaires.
De nombreux projets cherchent, depuis plusieurs années, à alléger le quotidien des patients séropositifs et à réduire le coût de leur traitement tout en maintenant le virus en sommeil.
Une étude de l’ANRS publiée cette semaine permet d’espérer la imitation de la toxicité médicamenteuse à long terme et l’amélioration de l’observance au traitement.