Auteur/autrice : Cheikh Diop

Homosexualité au Sénégal

L’OBSERVATEUR          N° 4737, du 15 juillet 2019  

Page 2 : Homosexualité au Sénégal

L’Observateur a publié un post de la page Facebook de Jamra. Toutefois, fidèle à sa ligne éditoriale, l’observateur en a fait un traitement sensationnel en exagérant sur les MSM.  Toutefois ils ignorent la  prévalence réelle chez les MSM. (source: CNLS)

« Les chiffres font froid dans le dos. Selon les statistiques du CNLS (Conseil National de Lutte contre le Sida) publiées par l’Ong Jamra, la communauté homosexuelle a franchi allégrement la barre des 22% alors que dans sa globalité, la population générale du Sénégal a l’un des meilleurs taux de prévalence du VIH-Sida en Afrique, avec 0,9%. »


La Tribune    N°2200; du 15 Juillet 2019

Page 3: Lutte contre le Sida à Kolda

La revue annuelle des données sur le sida à Kolda donne de bons résultats.

« Beaucoup de progrès ont été réalisés », selon le MCR ( Médecin Chef de la Région) qui affirme la baisse de la prévalence du SIDA qui passe de 2,4% à 1,5% dans la région de Kolda. Le MCR a fait part de ces résultats à l’occasion du CRD de partage des données SIDA de l’année 2018.


Seneplus    N°8192, du 17 Juillet 2019

Page 4: Kolda: RÉSULTATS DE LA REVUE ANNUELLE DES DONNÉES 2018 DU VIH/SIDA. Bien mais peut mieux faire.

La revue annuelle des données sur le Sida  à Kolda donne de bons résultats

« A l’instar des autres localités, la lutte contre le VIH/SIDA ne connait pas de répit dans la région de Kolda malgré les efforts consentis par les acteurs. D’après le MCR de la région, ce taux pourrait connaitre la baisse si certaines contraintes étaient levées à savoir l’insuffisance du dépistage, du manque de traitements antirétroviraux… »


Seneweb :      Mercredi 17 juillet 2019 à 10h:07:05

VIH SIDA : 770 000 morts enregistrée en 2018

Le dernier rapport ONUSIDA a publié les progrès réalisés dans la lutte contre Sida dans le monde. des progrès importants ont été notés.

« 770 000 personnes sont morts du VIH/SIDA dans le monde en 2018 selon le dernier rapport de l’ONUSIDA publié ce mardi. Le document souligne que plus 1,5 millions d’individus ont été affectés par virus l’année dernière. Des chiffres élevés qui selon I-Radio, cachent quelques disparités et chachutent les progrès réalisés notamment en Afrique. »


Le Témoin      N°1152, du 19 juillet 2019

Page 2: PERSONNES VIVANT AVEC VIH/SIDA : Les ingénieurs sénégalais trouvent un code d’identification unique.

Le Sénégal opte un système anonyme d’identification unique de personnes vivant avec le VIH/SIDA.

« L’institut de recherche en Santé, de surveillance épidémiologique et de la formation (Iressef), sous la conduite de l’équipe de surveillance épidémiologique du Pr Souleymane Mboup, a mis en place un système anonyme d’identification unique de personnes vivant avec VIH/SIDA. Une première en Afrique de l’Ouest grâce à la collaboration des ingénieurs du Centre de Calcul de l’UGB de Saint-Louis. »


Le Soleil     N°14743, du 20 juillet 2019

Page 4 : ÉLIMINATION DU VIH/SIDA : 86% des malades n’étaient en mesure de transmettre le virus du Sida en 2018.

Le dernier rapport ONUSIDA a publié les progrès réalisés dans la lutte contre le Sida dans le monde. Des progrès importants ont été notés.

L’espoir d’atteindre certains objectifs est bien dans l’ordre du possible selon le dernier rapport de l’ONUSIDA. En 2018, près de 79% des malades connaissent leur statut sérologique, 78% des malades ont accès aux traitement et 68% de ces sujets ont la charge virale supprimée.


Le Quotidien   N° 4923, du 20 juillet 2019

Page 2 : RAPPORT Lutte contre le VIH/SIDA. L’Afrique enregistre des progrès « impressionnants ».

Le dernier rapport ONUSIDA a publié les progrès réalisés dans la lutte contre le Sida dans le monde. Des progrès importants ont été notés.

Au niveau mondial, il est noté un ralentissement en matière de réduction des nouvelles infections à VIH, du nombre de décès liés au Sida et l’accès au traitement. Mais en Afrique, la situation s’est beaucoup améliorée avec des progrès impressionnants qui ont été notés.

eTME (élimination de la transmission mère-enfant) du VIH : Sedhiou montre la voie

La région de Sedhiou n’échappe pas à certaines spécificités particulières de la zone sud du Sénégal . D’importants mouvements de populations y sont notés du fait de la proximité d’autres pays limitrophes que sont la Gambie ou la Guinée. Et pourtant, cela  n’empêche pas la riposte d’afficher des résultats encourageants en particulier en ce qui concerne l’élimination de la transmission mère-enfant du VIH.

La mise en œuvre de stratégies innovantes basées sur le tatarsen a en effet permis ces dernières années de renverser la tendance. La première étape est le dépistage. Des équipes de prestataires composées de médecins et de techniciens de laboratoires, n’hésitent pas à se déplacer jusque dans les zones les plus reculées. Une méthode qui permet la confirmation une fois le dépistage effectué

Cette première étape essentielle du tatarsen effectuée, la seconde est aussitôt entamée et la prise en charge déclenchée. Et pour prévenir les abandons dus aux difficultés financières des femmes enceintes sous ARV, des comités de santé  se cotisent pour rembourser leur transport. Cette stratégie revêt une importance capitale car << la disparition des femmes empêche de connaitre le statut du nouveau-né à la délivrance de la mère. >> Comme le souligne Madame Ndeye Khady Diouf Kane Chargée de l’eTME au district sanitaire de sedhiou.

Un autre écueil réside au niveau des accouchements à domicile très fréquent dans cette parte du pays. Mais là aussi il s’agit de limiter les risques. Ainsi, des relais au niveau des différentes zones se chargent du recensement des femmes en état de grossesse. Des professionnels se chargent d’apporter l’assistance nécessaire dès l’annonce de la naissance. Car poursuit Madame Kane : << c’est pendant les trois premiers jours qu’on enregistre les décès. De ce fait si le dépistage n’avait pas été fait c’est à ce moment qu’il s’agit de s’en occuper >>.

Par ailleurs, comme s’ils se sont donné le mot, la lutte pour atteindre l’élimination de la transmission mère-enfant du Vih enregistre aussi l’engagement des acteurs communautaires. C’est le cas avec l’association DONDO LOLOO (étoile du savoir en mandingue) qui intervient dans la riposte depuis 2005 avec l’appui de l’ANCS (alliance des communautés pour la santé).

M. Mamadou Cissé qui coordonne cette association  basée à Sedhiou insiste sur l’implication réelle de tous y compris des collectivités locales. En ce qui concerne l’eTME, de nombreuses stratégies sont déroulées. Le constat avait été fait de l’arrivée tardive de femmes enceintes au niveau des structures de santé.

Pour en finir avec cette habitude un « tableau lumière » est disposé dans chaque poste de santé. Une fiche qui récapitule la situation sanitaire et sur laquelle est inscrite la date du rendez-vous suivant. « Cela est maintenant devenu un réflexe chez les femmes qui se dirigent vers ce tableau sitôt arrivées au poste »selon Cissé. Cette stratégie, poursuit notre interlocuteur se déroule en même temps que le programme dit « grand-mère » Cette dame est la confidente traditionnelle de la jeune mariée qui arrive à son  domicile conjugal. Elle est sensibilisée sur la question et se charge d’encadrer la femme enceinte en veillant au respect scrupuleux des dates de rendez-vous.
A  toutes ces stratégies s’ajoutent des activités de sensibilisation à travers des sketches destinés à impliquer les époux.

Les acquis d’une telle mise en œuvre donnent des résultats .L’enquête de 2014  donne à Sedhiou un taux de transmission de 2.1 là où le reste du pays  était à 4.1.
La riposte au VIH reste une affaire de tous et le cas de Sedhiou en est une illustration parfaite. L’objectif de zéro enfant né avec le VIH n’est plus une utopie mais une réalité concrète dans cette partie du Sénégal en dépit des moyens limités.Des raisons à l’optimisme affiché des acteurs en ce qui concerne le Tatarsen (test and treat and retain/Sénégal) et l’objectif d’en finir avec le sida à l’horizon 2030.

Journée porte ouverte (DLSI)

Dans la lancée de la célébration de la journée mondiale de lutte contre le Sida, la Division de Lutte contre le Sida et les maladies Infectieuses (DLSI) organise une journée porte ouverte. Cet événement est prévu Samedi 23 Décembre 2017 à partir de 09 h dans l’enceinte de l’Institut d’Hygiène Sociale(IHS) (ex polyclinique).
Le but est de renforcer la communication sur le VIH-Sida pour l’appropriation de la stratégie des 3×90 et l’élimination de la transmission de la mère à l’enfant d’ici 2020.
La riposte à l’infection par le VIH/SIDA est arrivée à un tournant décisif, et «  mettre fin à l’épidémie de sida d’ici à 2030 en passant par l’atteinte des 90-90-90 » en 2020, est le nouveau challenge pour la communauté internationale.

Le Sénégal à l’instar de la communauté internationale s’est engagé sur la voie de l’accélération visant à mettre fin à l’épidémie de sida dans le cadre des objectifs de développement durable (ODD) par la mise en place d’une nouvelle stratégie dénommée TATARSEN, soit tester, traiter et retenir les PVVIH.
Cette journée porte ouverte est l’occasion de délivrer des messages adaptés par rapport au VIH /Sida, qui n’est plus une maladie mortelle mais une pathologie chronique, prise en charge par les prestataires à tous les niveaux de la pyramide sanitaire.

C’est également un moyen de communiquer sur les missions et services de la DLSI du MSAS pour une bonne appropriation de la lutte contre le sida par les communautés. Il s’agit ainsi de Renforcer la prévention des IST/ Sida au sein de la population et vulgariser les activités de la DLSI, de  donner aux populations les bonnes informations par rapport au VIH / Sida, en plus de consultations gratuites suivies de dépistage VIH en collaboration avec la région médicale de Dakar.

6ième Congrès de la Société Africaine de Pathologie Infectieuse (SAPI)

La société africaine de pathologie infectieuse (SAPI) organise du 09 au 11 Novembre 2017 son 6ième congrès sous les thèmes ; « Infections à VIH, hépatites virales et maladies non transmissibles : quels liens ? »
Cette rencontre va servir de cadre d’échanges entre différentes spécialités médicales et sera l’occasion de présentations plénières, et de communications orales sur des aspects relatifs aux thèmes choisis.
Les maladies infectieuses ont toujours constitué une préoccupation majeure. Leur caractère transmissible, avec risque d’épidémies en a fait des problèmes majeurs de santé publique.

Les maladies non transmissibles sont aussi des problématiques importantes et croissantes en Afrique subsaharienne : affections cardio-vasculaires, endocrine-métaboliques, tumorales, respiratoires favorisées en partie par le mode de vie et les comportements. Ces affections sont responsables de 36 millions de décès par an dont 80% dans les pays à revenu faible et intermédiaire selon l’OMS en 2013. Elles sont devenues les premières causes de décès dans le monde sauf en Afrique. Cependant, ce continent devrait enregistrer la plus forte augmentation de mortalité liée à ces affections d’ici 2020.
Certaines infections chroniques font le lit des maladies non transmissibles.

L’infection à VIH en est la plus parfaite illustration à travers ses multiples complications non-infectieuses. Celles-ci sont de plus en plus observées avec le vieillissement des cohortes et sont parfois dues au traitement antirétroviral. L’Afrique au sud du Sahara reste la région la plus touchée par cette pandémie et abrite 70% des 36,7 millions de cas estimés par l’OMS en 2015. La lutte contre cette maladie est actuellement à un tournant décisif avec le lancement par l’OMS et l’ONUSIDA de la stratégie «90-90-90» visant son élimination en 2030.

De leur côté, les hépatites virales B et C sont responsables de 500 millions de cas à travers le monde. Elles restent les principales causes de cirrhose.

Pour trouver des réponses à cette situation complexe, des experts et décideurs d’Afrique et d’ailleurs vont échanger lors de cette importante rencontre à la lumière des résultats des différents travaux. Les échanges vont réunir des infectiologues, des microbiologistes, des épidémiologistes et d’autres spécialistes qui prennent en charge les maladies non transmissibles autour de divers axes thématiques.

Cérémonie de partage et de lancement du plan de rattrapage

Pour mettre fin au sida en 2030, l’ONUSIDA souhaite qu’à l’horizon 2020 :

– 90% des personnes séropositives connaissent leur statut sérologique

– 90% des personnes dépistées séropositives aient  accès aux TARV

– 90% des personnes sous TARV disposent d’une  charge virale indétectable. L’application de cette stratégie au Sénégal a été la mise en œuvre du TATARSEN (test and treat and retain/Sénégal).

Il s’agit d’améliorer l’état de santé chez les personnes dépistées positives et de réduire la transmission du VIH. Les ARV sont désormais utilisés non seulement pour le traitement mais aussi pour la prévention de l’infection à VIH.

En 2016, des résultats encourageants ont été notés dans la prise en charge des PVVIH mais l’ONUSIDA a lancé un appel en faveur des pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre. En effet, si dans des pays d’Afrique de l’Est et du Sud on note des résultats encourageants, ceux de l’Afrique de l’Ouest et du centre sont encore à la traîne.

Le 3 juillet 2017, les présidents de l’Union Africaine ont adopté un plan de rattrapage de l’Afrique de l’Ouest dans le but d’inverser la tendance de l’épidémie. C’est dans cette dynamique que le Sénégal s’est engagé à élaborer et mettre en œuvre son plan de rattrapage en 2018 afin d’accélérer les interventions vers l’atteinte de la cible des 90 90 90.

La mise en œuvre de ce plan va permettre de  combler les gaps notés  dans la mise en œuvre du plan d’accélération et d’atteindre les objectifs des 90-90-90.

Les interventions du plan de rattrapage  vont s’articuler  entre autres autour de l’adaptation du contexte réglementaire pour l’acquisition des ARV et intrants, de la  Promotion du dépistage démédicalisé au niveau communautaire ou du

Passage à l’échelle des stratégies de dépistage.

Dans le but de développer la notoriété du plan de rattrapage au niveau national et international, et de remobiliser les acteurs sur l’atteinte des objectifs de 2018, le Conseil National de Lutte contre le Sida(CNLS) en partenariat avec la Division de Lutte contre le Sida (DLSI), organise la cérémonie de partage et de lancement du plan de rattrapage. Cet événement est prévu Mardi 16 Janvier 2018.

 

 

 

Célébration de la journée mondiale du Sida

Le Sénégal, sous l’égide du Conseil National de Lutte contre le sida, célèbre le 1er Décembre de chaque année, la journée mondiale de lutte contre le sida .Cette année du fait de la coïncidence avec le Gamou cette journée sera célébrée de façon exceptionnelle le 29 Novembre 2017. Cette journée constitue un temps fort de communication pour l’ensemble des acteurs de la riposte nationale au VIH.

Aujourd’hui, la communauté internationale dispose de toutes les stratégies nécessaires pour mettre fin l’épidémie. En effet, les traitements permettent de rendre la charge virale indétectable, supprimant le risque de transmission du virus. La PrEP protège les personnes n’utilisant pas systématiquement le préservatif. De plus, les programmes de réduction des risques (distribution de seringues, consommation à moindre risque, dispensation de méthadone etc.) permettent de rompre la chaine de transmission du virus parmi les usagers de drogues. Aussi les stratégies de santé publique ont produit des résultats encourageants : Promotion du dépistage, mise sous traitement des personnes dépistées (tester et traiter), priorisation des populations-clés, etc.

Aujourd’hui, différentes stratégies sont mises en œuvre pour que :
⦁ 90% des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut sérologique
⦁ 90% des personnes vivant avec le VIH qui connaissent leur statut sérologique ont accès au traitement
⦁ 90% des personnes sous traitement antirétroviral aient une charge virale indétectable

Le Sénégal pour sa part, adhère à cet objectif et s’est engagé pour la fin du sida d’ici 2030. A cet effet, un temps fort comme la journée mondiale de lutte contre le sida offre une opportunité pour mobiliser l’ensemble des acteurs et accélérer les interventions.

Cette édition de la journée mondiale sida sera pour le CNLS, l’occasion de lancer le compte à rebours pour la fin de l’épidémie du sida en 2030.

Le thème retenu par l’ONUSIDA pour l’édition 2017 de la journée mondiale sida est : « DROIT A LA SANTÉ ».
C’est dans cette thématique qui met le « DROIT A LA SANTÉ » au cœur de la riposte à l’épidémie que le Sénégal s’est inscrit tout en ayant en ligne de mire le dépistage et la prise en charge systématique de toutes les personnes vivant avec le VIH sans discrimination et dans le respect de tous leurs droits :
Toutefois il s’agit de renforcer d’importants aspects de la riposte liés au renforcement du plaidoyer sur le droit à la santé en prenant en compte les autorités gouvernementales et religieuses, les partenaires techniques et financiers.
IL est aussi question de renouveler l’information sur le droit à la santé en direction par le biais des activités de communication pour le changement de comportement.
L’atteinte de ces objectifs devra aussi s’accompagner d’activités de dépistage à travers le pays avec pour cibles principales les populations clé et les zones de forte vulnérabilité
La journée Mondiale de lutte contre le sida est organisée sous l’égide du Président de la République qui a signé la déclaration d’engagement des chefs d’État de l’Union Africaine, parrainée par le Premier Ministre, Président du Conseil National de lutte contre le sida et placée sous la présidence d’honneur du Ministre de la Santé et de l’Action sociale, Vice-Président du Conseil National de lutte contre le sida ..

Droits humains et vih : Respect de la dignité et de la santé pour tous

Une approche centrée sur les droits humains est devenue une nécessité en l’état actuel de la riposte. Ce sont en substance les mots de la Secrétaire Exécutive du Conseil National, de Lutte contre le Sida. Dr Safiatou Thiam participait à la cérémonie d’ouverture de l’atelier  d’orientation et de plaidoyer sur droits humains et VIH à Ziguinchor.

Cette rencontre s’est tenue en présence des autorités administratives et locales, du procureur de la République de Ziguinchor, du président du tribunal d’instance, des avocats, des représentants des forces de défense et de sécurité et des autorités médicales venant des régions de Sédhiou, Kolda et Ziguinchor.

La prévalence du Vih, faible dans la population générale, est toutefois très concentrée au sein des populations dites clé (Professionnelles du sexe, Homme ayant des relations sexuelles avec des hommes, consommateurs de  drogue injectable) et les détenus.

Il est constaté qu’un environnement juridique et social dénué de stigmatisation crée un contexte favorable au dépistage du Vih, une étape fondamentale de la lutte contre le sida.

Cet atelier de deux jours est aussi l’occasion de démontrer l’urgence d’intervenir auprès de ces populations pour concevoir des orientations stratégiques et opérationnelles de nature à promouvoir le respect de leurs droits.

Les participants pourront ainsi améliorer leur niveau de compréhension des stratégies de lutte contre le sida et les politiques développées en matière de droits humains dans la réponse au vih